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En 1961, la vie d'une famille dans une ferme d'un village près de Clermont-Ferrand. L'homme, ouvrier chez Michelin, s'occupe aussi de la ferme et de sa mère âgée qui perd la mémoire. Sa femme se fait belle pour son amant et rêve de modernité. Son fils aîné est en Algérie et on attend son retour avec impatience. Son autre fils, plus jeune, lit Eugénie Grandet de Balzac. Dans la maison, l'arrivée de la première télévision est un événement, la cuisine se modernise, avec la table en Formica, le Frigidaire et le moulin à café électrique. Au village, on croise, sur le chemin du cimetière, la veuve de guerre qui a perdu son fils unique. Et puis, il y a l'ancien maître d'école dont la maison est remplie de livres. 

 

 

 

J'aime !

 

Ce roman attachant parle d'amour, de transmission du savoir, d'héritage familial, à une époque, le début des années 60, où les objets modernes remplacent les meubles anciens. J'aime les portraits des personnages de ce village. L'écriture fluide de l'auteur est très agréable à lire.

 

En vieillissant les hommes pleurent

 

Jean-Luc Seigle

 

© 2016 par Balades littéraires.

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